07/03 : Au revoir les MOAI et rendez-vous à Pâques

Au revoir

ILE DE PAQUES

Un petit paragraphe consacré à nos hôtes de l'île de Pâques.

Un jeune couple (petite quarantaine), lui Wallisien et tatoueur renommé, elle Tahitienne et hôtesse de l'air en congé parental. Trois jeunes enfants et - provisoirement - la gestion de trois chambres d'hôtes . Tous les deux, des îliens, attachés à leurs racines mais on a vite fait le tour d'une île. Ils ont déjà bourlingué, passant de Wallis à Tahiti puis la région Parisienne puis l'île de Pâques mais ont toujours envie de bouger vers la Nouvelle-Zélande ou bien l'Australie par exemple ! Curieux choix : encore deux îles ! Ou bien la France (métropolitaine) mais, un jour, ils reviendront , sur leur île mais laquelle Wallis ou Tahiti ? En deux mots, et on a souvent constaté cela, les îliens ont toujours envie de connaître le monde (au delà de leurs côtes), le découvre à l'occasion mais sont toujours rattrapés par leurs racines.

Sur le portail de notre chambre d'hôtes, un panneau "TATOU" ! Pourquoi me tutoie-t-il ? On se connaît à peine ! Et puis, ma toux, cela ne le regarde pas forcément ! Ma toux, moyen, moyen ! et son panneau indique son métier de tatoueur (tatou en espagnol ou en dialecte local).

HENNIS SOIT QUI MAL Y PENSE

Juste de passage, à l'improviste, le portail était ouvert. Ici, les chevaux sont en liberté et chaque propriétaire reconnaîtra les siens !

Il en profitera pour tondre la pelouse, un bon moyen pour se faire du blé afin de payer son avoine, et, un peu plus tard, repartira vers d'autres chantiers, d'autres missions, d'autres prairies...

Un dernier après-midi sur cette île au trésors ou île mystérieuse à la découverte d'une plage près du bourg où cinq statues veillent sur nous ou bien sur leurs descendants....

P S : avons trouvé un restaurant remarquable - terrasse extérieure dominant l'océan - avec des plats de poisson extraordinaires et des couchers de soleil inoubliables. On viendrait bien dîner là tous les soirs !!!! Magique

On vous le conseille.

Le jardinier local